Better off alone

•juin 26, 2013 • Laissez un commentaire

Max Payne, ce n’est pas seulement un excellent jeux. C’est aussi une ambiance : sombre, oppressante, inquiétante. C’est un personnage, dont les rides marquent son visage, dont la consommation d’alcool fatigue des yeux désabusés, dont le passé tragique marque chacun de ses pas. L’antihéros par excellence.

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-M-O-R-R-A-

Griffenoire : paradis souterrain

•juin 22, 2013 • Un commentaire

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Spectres, géants, centurions dwemmers ou araignées, la population qui peuple ces ruines est particulièrement variée !

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Véritable soleil artificiel, cet immense candélabre illumine le château principal et sert de phare dans tout le reste de la grotte !

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L’accès est possible via de nombreux ascenseurs, situés dans les montagnes entre Fortdhiver et Blancherive.

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But de ces caverneuses pérégrinations, le parchemin ancien qui permettra au Fils de Dragon de battre Alduin… Normalement. Mais est-ce qu’une telle force est possible dans un simple bout de papier ?

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Toiles d’araignées, murs scintillants, champignons de la taille d’un donjons, rivières et lacs d’apparence crémeuse, fines particules en lévitation constante, cet endroit dispense une ambiance partagée entre frissons et quiétude !

-M-O-R-R-A-

Godswood

•avril 30, 2013 • Laissez un commentaire

Cet arbre, trônant au milieu de Blancherive, n’est pas sans rappeler celui de Winterfell

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-M-O-R-R-A-

Fuck You

•avril 20, 2013 • Laissez un commentaire

Pince-sans-rire prompt à dégainer des répliques acerbes teintées remplies d’humour noir, Max est le meilleur pour vous faire marrer dans les pires situations !

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« Je passais aussi inaperçu qu’une prostituée dans un monastère »


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« Je ne suis pas aussi con que j’en ai l’air »

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« Encore un bel exemple de l’efficacité de la sécurité privée »

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« D’un côté, des tueurs professionnels et de l’autre, des soi-disant garants de l’ordre. Ils avaient pourtant l’air de bien s’entendre »

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« Un alcoolique à peine remis et une femme enceinte désarmée. Nous formions une sacrée équipe. »

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« Ma chance était fidèle à elle-même. Ou plutôt, j’étais fidèle à moi-même »

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« Des pirates aux grands idéaux. Des psychopathes poètes. Ce genre de conneries »

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« Le bateau pouvais à nouveau sentir la crème solaire, les margaritas et l’avarice »

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« Tirer sur tout ce qui bouge était plus facile que d’accepter cette triste réalité »

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« J’aurais du plonger dan ce foutu canal et regagner New York à la nage »

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« Quitte à mourir, autant que ce soit au soleil »

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« C’est ce qui arrive quand on donne un uniforme militaire avec ‘spécial’ marqué dessus à des attardés shootés aux stéroïdes »

2013-03-19_00012« J’avais tué plus de flics que le choléstérol et toujoura aucun signe de Becker. »

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« A des milliers de kilomètres de chez  moi, lancé dans une nouvelle mission suicide pour nettoyer la merde des autres. »

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« Nous n’avons pas été présentés. »

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« Je me sentais comme l’ange de la mort. Mais je n’étais qu’un gros type chauve en colère. »

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« …je pensais qu’ils opteraient pour la voie des airs. Les riches adorent fuir en avion. »

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« C’était parfait. Tout le monde voulait son billet pour le Max Payne Express. »

2013-03-19_00062 « Mais les trucs logiques, ce n’est pas pour moi. Je préfère les plans foireux. »

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« Pas de doute, c’était eux. Les flics de New York passaient pour des moines bouddhistes à côté de ces enfoirés. »

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Path of the Bullet

•avril 15, 2013 • Laissez un commentaire

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Max Payne 3

•avril 10, 2013 • Laissez un commentaire

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Je l’avoue : quand le troisième opus était sorti, début 2012, j’ai eu un mouvement de réticence, un a priori sur les images que je voyais. Un Max Payne en chemise à fleur, crâne rasé, au milieu des favelas ??? Dans mon esprit encore trop étriqué, Max Payne était un ancien flic, imper noir, le visage marqué au burin du destin tragique de sa femme et de sa fille, errant dans un New York gangréné par la pègre, un homme gorgé d’alcool et de médocs, suicidaire et plus sombre encore que les recoins les plus reculés de l’enfer. Bref, un chouette type avec qui on passait son temps à faire du bullet-time depuis des escaliers (à défaut de pouvoir le faire dans un VRAI jeux Matrix…), car le gameplay en valait largement la chandelle : maniable, efficace, nerveux.

Sans parler de la mise en scène : pas ou peu de cinématiques, mais un traitement BD’esque, dans le même esprit que Sin City (Miller & Rodriguez, 2005). Ces décors gris et la noirceur du trait s’accompagnait en outre d’une musique triste à vous en arracher le cœur (le thème joué par Perttu Kivilaakso [ex-membre d’Apocalyptica] est juste incroyable…).

C’est peut-être le prix en action sur Steam qui m’a convaincu. Ou de retrouver ce vieux Max. Mais pas que. Dans tous les cas, je réfléchirais à deux fois désormais….

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De Sin City, on passe à Man on Fire (Tony Scott, 2004). L’histoire, mais aussi la mise en scène, est similaire à ce film où un garde du corps (Denzel Washington, excellent) échoue dans la protection d’une petite fille dans un Mexico City où les riches sont dans des immeubles sécurisés, constamment sous protection. Le rythme est nerveux, les cadrages se découpent, se figent, zooment, avec les paroles qui s’impriment à l’écran comme pour souligner leur importance. On déplace quelque peu le curseur dans Max Payne 3 : pas de petite fille, mais une famille riche où les aînés jouent avec le pouvoir et leur progéniture avec la drogue, les filles et l’argent. Autant dire que Max arrive comme un cheveu sur la soupe, relevé de son état dépressif à New York par son ancien collègue Raul Passos. Ce qui donne des moments délicieux où le pauvre est confronté à un état constant de fiestas imbibées de drogue, d’alcool et de musique électro dégueulasse, devant protéger entre autres la tête à claque de fils de celui qui l’emploie. Ceci prend gentiment place dans une intro à couper le souffle, servie par cette musique incroyable (à noter que la BO conçue par le groupe HEALTH est dispo sur itunes !).

Côté gameplay, on reprend la même chose que le deuxième, avec toutefois des petits détails qui améliorent l’immersion. Du réalisme : le fait de ne pouvoir porter qu’un nombre limité de pétoires ou le visage qui se tuméfie au grès des coups ou les habits qui se tachent de sang. Mais encore, petit détail subtil, les protagonistes parlent le plus souvent portugais (Brésil oblige) et donc, si l’on ne maitrise pas la langue de Ronaldo, on partage exactement la même expérience que Max : se retrouver comme un con quand des ennemis vous hurlent dessus ou que nos patrons font leurs petites messes basses. D’habiles transitions entre cinématiques et jeu rendent le contenu encore plus dynamique, sans parler des gunfights nerveux lorsque déboulent plusieurs ennemis en même temps : les headshots sont d’autant plus importants dans ces moments-là !2013-03-15_00001

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Les décors sont fabuleux. Passé la noirceur de New York City, ici c’est la moiteur des bidonvilles. Les dédales donnent le tournis, la peur de se prendre une balle venue de n’importe quelle fenêtre augmente la tension. Pareil dans les scènes dans les clubs. Sans parler des graphismes, qui rendent grâce à ces décors et jouent beaucoup sur les effets de lumières, d’explosions et de balles sifflant dans l’air.

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2013-03-18_00016Les scènes de flashback, savamment utilisées, permettent d’apprécier un retour dans New York et le récit qui explique pourquoi Max se retrouve en Amérique du Sud : Cimetières sombres, HLM désolés, petite pègre hargneuse. La même désolation qu’à Sao Paolo, mais sans le soleil et les plages…
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La violence y est omniprésente et radicale, et surtout, elle n’a pas de camp. Autant la guerre entre les gangs armés jusqu’au dents que les pratiques policières (tant polices d’État que milices privées et/ou paramilitaires) proches de la Gestapo, chacun se salit les mains. Max, qui pourtant en a vu d’autres, est sous le choc. Pris entre deux feux, marchant comme un funambule sur le faîte de ce contexte sanglant, Max fait son chemin et contemple, toujours plus cynique, les dérives violentes de la société. Tout en y prenant part, malgré lui (?)…

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Toute ressemblance avec un flic neworkais tout aussi suicidaire, chauve, en liquette et la gueule en sang, est fortuite !

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Et Max. Alors qu’il prend progressivement l’apparence d’un certain inspecteur McClane, il garde tout son cynisme, ses envies suicidaires. Un même sens de l’humour, certes, mais bien plus cynique et noir du côté de Payne. Et un autre point commun, le fait d’avoir son chic pour se mettre toujours dans des situations pas possibles et de dévaster tout sur son passage ! L’action y est donc constante, avec de rares temps morts (plus de love story comme dans le deuxième épisode).

Seule amère déception : la durée. Pas un seul établissement dans Sao Paolo ! A peine quelques heures pour terminer le scénario. C’était un le même point faible que pour le second, si je me souviens bien. En même temps, pour nuancer cette critique, il faut se dire qu’un tel genre cinémato-vidéoludique ne se prêterait peut-être pas à un développement long, comme c’est le cas pour Deux Ex, par exemple. Il faut une histoire nerveuse, courte, qui lessive le joueur tant sur le gameplay que sur l’histoire elle-même. Un shoot rapide, comme Max pour se remettre en forme !

-M-O-R-R-A-

Introducing Max Payne…

•mars 28, 2013 • Laissez un commentaire

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Deus Ex : Human Revolution

•mars 19, 2013 • Un commentaire

Retrouvailles avec l’ambiance cyberpunk de Deus Ex, bien des années après m’être essayé au premier opus sur… PS2 ! D’excellents souvenirs d’ailleurs, sur un gameplay poussé, fin et particulièrement jouissif quand il s’agit de se la jouer infiltration.

Interface discrète et soignée, on reprend vite ses marques avec une jouabilité intuitive. S’il est toujours possible de la jouer bourrin, autant avouer que l’on meurt très vite sous les impacts de balles. A préférer donc le piratage informatique : détourner les caméras, retourner les robots contre leurs alliés, ouvrir les portes. Ou encore le déplacement furtif, voire invisible, par les canalisations, les égouts ou les toits : les chemins multiples, les sentiers de traverse, sont une des marques de fabrique de Deus Ex ! A chaque level, une « augmentation » devient disponible. Il est même possible, en farfouillant un peu, d’en trouver ça et là, et même d’en acheter dans les centres AMPLIB, véritables supermarchés de l’augment’ !

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Le ton jaune des décors contribue à donner au monde un aspect délavé, post-apocalyptique. Entre Détroit, Montréal et Shanghai, les mégalopoles sont désormais sur deux étages : les bas-fonds, comme toujours, sont délaissés. Lieux de misères où le soleil ne perce plus, tandis que les nantis batifolent dans les buildings immenses, contemplant depuis leur balcon la noirceur de la chape de plomb qui s’abat sur la basse-ville. Une ambiance au final constamment oppressante, que ce soit dans les ruelles sombres ou les couloirs bondés de caméras de surveillance.

 

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La scène rappelle quelque peu le passage plutôt gore du premier Resident Evil, le film… Ici, heureusement, les lasers ne sont là que pour donner l’alarme !

 

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Autre clin d’œil à un autre jeu… (A noter que nous en sommes qu’au FF XIV…)

 

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L’un des points scénaristique de Deus Ex est la présence de l’amélioration humaine via les nanotechnologies. Entre le débat à mort entre les « pros » et les « antis » qui prônent l’humain pur, l’histoire aborde, à travers l’expérience de Jensen, les nombreuses questions philosophiques qui pourraient naitre d’une telle évolution technologique. Dans une certaine mesure, nous y entrons à petit pas : développement des neurosciences, le dopage dans le sport, la médecine, les prothèses. La notion même d’être humain est remise en question : est-ce que ceux qui ont ces améliorations le sont-il toujours ? Ont-ils « dépassé » cette condition humaine puisque désormais des éléments externes ont la possibilité de pallier à nos déficits humains ? Avec la toute puissance des lobbies pharmaceutiques, la question de l’accès à ces améliorations est aussi esquissé, creusant encore plus le clivage social. Elles ont un coût, déjà, mais surtout elle ont un effet secondaire qui nécessite la consommation régulière d’une drogue, non sans répercussions financière et la formation d’un marché underground. Tout n’est pas noir et blanc, on l’apprend très vite à travers les quêtes de Jensen qui s’apparentent le plus souvent à découvrir de multiples avis et perspectives sur ce débat.

 

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Syndrome du post-it pour ce programmeur !

 

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Dans les rues sombres, du street art : Banksy semble s’être infiltré jusque dans les lignes de codes pour appliquer son art sur les murs binaires…

 

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Médias et pensée, voilà l’autre gros morceau de Deus Ex. Conglomérats de presse, écrans plats partout, nouvelles diffusées 24h/24h : voilà le quotidien dans ce monde. La pensée est formatée par ces canaux (le contrôle des mots est important, tout comme dans 1984, voir le screenshot des emails!), la parole de ces puissants faisant office de vérité toute puissante.  Il suffit de voir la dichotomisation sans pincettes entre la sécurité et le terrorisme. Et dans la lutte contre ce soit-disant terrorisme, on érige les agences de sécurité privées comme les piliers contre cette menace. Belltower, PLC, Inter-Guarda, Sharp Edge : compagnies aux logos bien caricaturaux (taureau, aigle, loup) qui reflètent tant les armées de mercenaires d’aujourd’hui (la plus connue : Blackwater, DynCorp) que l’essor des entreprises de sécurité (Securitas, Protectas, SIR, Dialarme). Bien des mots, bien des phrases trouvent leur écho dans notre monde actuel.

-M-O-R-R-A-

Dead Island : The Prison Song

•mars 11, 2013 • Laissez un commentaire

Au dernier chapitre du jeu, nous voici transportés dans la 3e saison de Walking Dead, au beau milieu d’une charmante et accueillante prison !

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Alors bien sûr, c’est pas la super fête dans les cellules !

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Ni dans les couloirs d’ailleurs. Je ne vous parle même pas des douches…

 

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Ah bah si tiens, juste pour le geste !

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Quant à la secrétaire du directeur, elle a visiblement eu envie de donner son congé… ou plutôt sa tête !

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Moment critique à la montée d’une échelle, où l’on hésite quelques seconde à gravir le dernier échelon…

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Dernier chapitre un peu court et vite balayé à mon goût, comparés aux autres ! Par contre, je crois que c’est celui où j’ai eu le plus de sursaut à cause de ces enfoirés qui hurlent avant de charger et le peu de visibilité dans les couloirs sombres de la prison. L’ultime combat est assez stressant également, même si un peu brouillon ! Nemesis de Resident Evil 3 n’a qu’à bien se tenir comparé au boss de fin qui vous piste comme un salopard sans vous laisser le moindre temps, tout en étant attaqué par d’autres zombies ! Niveau scénario, comme toujours, c’est un bordel scientifico-militaro-dingo-médiatico-dingo, avec une petite touche de culte ‘voodoo’ bien sympa ! Bref, une belle aventure en vacances sous un soleil rouge : « Beaucoup de sang a du couler cette nuit » – Legolas. J’te le fais pas dire mon gars !

-M-O-R-R-A-

Siledorm & Morrath : The Rise of the Barbarians

•mars 6, 2013 • 2 commentaires

New duo to rock Norrath ? Berserker & Shaman !

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Sans se concerter sur nos choix de race et de look, voilà ce que cela donne…

Et c’est parti pour un rush à travers les zones bien connues pour nos bas levels : Clan Crushbone et le foutoir dans le château où se cache l’Emperor Crush himself.EQ000161

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Parfois ça joue les durs…

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Parfois ça prend des claques…EQ000181
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Puis quelques pas à Paludal Caverns où les camps de mobs vous assaillent par paquets de 3 ! Ça pique un peu au début, mais on s’y fait !EQ000230
Pour rattraper Senyan qui avait déjà pris un peu d’avance, il m’a emmené à Eastern Wastes pour chasser le bon vieux géant dans leurs austères châteaux !  EQ000239
Dranik’s Scars. La zone d’entrée d’Omens of War. Sensée être une ‘hotzone’, nous nous y sommes frotté. Et autant dire que les premiers essais ont été catastrophiques. La zone, sorte de vallée tropicale où subsiste quelques ruines d’un autre âge, semble au premier abord assez vide. Mais il suffit d’engager le combat, même dans ce qui semble être un safe spot, pour que toutes sortes de mobs agressifs aggroent à la chaine !!! Autant dire qu’ici, on apprend à gérer la panique et s’occuper calmement des mobs, un par un. Une fois les bons réflexes acquis, ça devient même enivrant de voir arriver la chair à canon qui tombait sous nos coups !EQ000241
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Détour bucolique par une zone que nous n’avons jamais explorée, The Hive. On se croirait dans un épisode de Maya l’Abeille, sauf qu’à la fin, c’est la reine qui nous a botté le cul hors de sa ruche !EQ000256
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D’autres géants, cette fois ci à Gorukar Mesa. Un peu moins frileux que les précédents, ça ne nous a pas empêché de mettre un sacré souk dans leurs cavernes humides ! EQ000261
Puis un saut à Plane of Disease. Mauvais choix, pas de camp connu suffisamment . Complète berezina !EQ000262
Alors retour à Blackfeather Roost, tuer de l’ours et de l’araignée, avant de partir sur les autres ilots pour s’en prendre aux griffons et harpies. Nous avons presque réussi à finir la zone en s’attaquant au général des troupes harpies, mais ce dernier cognait plus fort que prévu. Une raclée à l’ancienne, pour nous rappeler de rester humble, parfois…EQ000235

The Crew : Siledorm the Berserker, Eternelly the Bard, Morrath the Shaman

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